QUE NOTRE FRANCE EST BELLE
CAHORS

Ville d'art et d'histoire, lovée dans un méandre du Lot, entourée par des collines escarpées et par les hauteurs arides des causses. Du pont Valentré à la cathédrale Saint Étienne, en passant par la place du marché et les terrasses du boulevard Gambetta, la capitale du Lot conjugue ambiance méridionale et richesses historiques. Cahors vit le jour au temps de Rome, la cité devint, au Moyen Age, une place commerciale et financière d'envergure européenne. Un véritable âge d'or qui se retrouve dans le centre ancien, intact et vivant, où le rouge de la brique s'allie au gris du calcaire et à l'ocre du grès. Au détour des ruelles médiévales, les arcades des boutiques du Moyen Age accueillent restaurants, cafés et commerces. Emblème de la ville, le pont Valentré, édifice fortifié du XIVème siècle, franchit la rivière, protégé par ses trois tours, inscrit au patrimoine mondial par l'UNESCO, au titre des chemins de Saint Jacques de Compostelle. La construction du pont en s'éternisant (1308 - 1378), fit naître une légende: Exaspéré par la lenteur des travaux, le maître d'oeuvre signe un pacte avec le Diable qui devra mettre tout son savoir faire au service de la construction, sous conditions qu'il exécute tous ses ordres et lui devra abandonné son âme en paiement. Le pont s'élève avec rapidité, le contrat arrive à son terme, pour sauver son âme car il ne veut pas à aller en enfer, le maitre d'oeuvre demande à Satan d'aller chercher de l'eau à la source des Chartreux avec un crible. Bien sur, Satan revient bredouille et ainsi perd son marché. Décidé à se venger, il envoya chaque nuit un diablotin pour desceller la dernière pierre de la tour centrale, remise en place la veille par les maçons. En 1879, lors de la restauration du pont, l'architecte fit apposer dans l'emplacement vide, une pierre sculptée à l'effigie d'un diablotin. Ainsi à chaque fois que le Diable vérifie si le pont est bien inachevé, il pense voir l'un des siens le démanteler.

Le pont Valentré, fortifié à 3 tours, un remarquable témoignage de l'architecture médiévale, il fait la fierté et la renommée de Cahors
Le diablotain essayant de desceller la dernière pierre
La source "fontaine des Chartreux", une résurgence calcaire, autrefois lieu de culte de la déesse Divona, déesse des eaux d'origine celtique, qui donna son nom à Cahors (Divona Cadurcorum)
Palais de Via dit "Château du roi" XIVème siècle
La tour Saint Jean dite "des pendus"
Le clocher de l'église Saint Barthélémy, édifiée à partir du XIIème jusqu'au XVème siècle
L’hôtel de Roaldès surveillé par le héron
La tour du palais Duèze ou Jean XXII
L'église Saint Urcisse, très ancienne, d'abord dédiée à Saint Saturnin, ensuite à Saint Urcisse premier évêque de Cahors de 581 à 595
Fontaine de l'"Horloge à bille"
La cathédrale Saint Etienne, de style romano-gothique, du XIème au XVIIème siècles. Son cloître entrepris aux environs de 1506 est un chef d'oeuvre du style gothique flamboyant.
Maison dite "maison du bourreau", XIII, XIV et XVIIème siècles
La maison Hérétie du XIII - XIVème siècles.
L’hôtel de Roaldès de la fin du XVème siècle, aussi appelée "maison Henri IV", celui-ci y aurait séjourné en 1580
Les vieilles portes de Cahors
La "Barbacane", construite au XVIème siècle, elle protègeait l'accès nord de la ville
La tour Saint Jean dite "des pendus" vu de près
Vestige des murailles nord
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